Les deux juments, un pur-sang espagnol et un anglo-arabe, qui doivent toutes les deux mettre bas en janvier, ont disparu de leur enclos protégé par une clôture électrique le 14 novembre dernier.
Olivier Eysseric de la ferme Dizomanche à Sagnes-et-Goudoulet, qui en a la garde, s’en est aperçu le matin même. Avec le propriétaire des chevaux, Gabriel Comte, maire de Burzet, il se lance dans une recherche qui se révèlera infructueuse. Deux jours plus tard, Gabriel Compte contacte un magnétiseur, Jean-Claude Audigier, qui se met au travail, muni d’une carte d’état-major et d’un pendule.
Une heure plus tard, il appelle M. Comte et lui affirme que ses juments sont ensemble, en vie et qu’elles se trouvent à 6 km à vol d’oiseau à l’ouest du parc où elles étaient en pâture.
Ce même jour, les gendarmes contactent le propriétaire. De leur côté, ils ont mené leur enquête et l’emmènent reconnaître les juments. Effectivement elles sont bien présentes dans une ferme, attachées derrière un troupeau de vaches, au fond de l’étable. Coïncidence ou résultat d’une enquête rondement menée ? Elles se trouvent à l’endroit où le radiesthésiste les aurait localisées…